MBK st Quentin produit nos xmax !

Le rachat par Yamaha

En 1983, Motobécane est en faillite et Xavier Maugendre, qui vient d'être déchargé par Kawasaki de l'importation de cette marque en France et ancien président de la chambre syndicale française des importateurs de motos, se porte repreneur avec quelques associés en créant une SA au capital de 250 000 francs. La société change de nom pour devenir MBK Industrie et après quelques péripéties des investisseurs sont trouvés. MBK Industrie est chargée par le gouvernement de relancer une moto française et notamment la marque BFG, ce qui tournera court. Les capitaux sont pour 60 % français, dont 20 % proviennent d'instances régionales de la Picardie. Les 40 % « étrangers » restant sont répartis entre Yamaha, deux importateurs de Yamaha (Sonauto, alors importateur entre autres de Yamaha en France et d'Ieteren en Belgique) et le constructeur de deux-roues allemand Sachs qui cherche un débouché pour ses moteurs. Mais la situation de MBK est difficile du fait de la chute générale du marché des cyclomoteurs que ne suffit pas à compenser la percée dans la bicyclette - notamment le bi-cross (nombreux titres de champion du monde) et le mountain bike.

En 1986, une augmentation de capital majoritairement réservée à Yamaha donne à cette firme le contrôle de MBK. La situation se redressera par la production de modèles Yamaha dans l'usine de Saint-Quentin, dont une partie, essentiellement des scooters, est vendue en France sous la marque MBK.

L'usine de Saint-Quentin, dans l’Aisne, compte aujourd'hui 632 salariés. Cette usine a produit 60 000 scooters et cyclos de 50 cm³ (marques MBK et Yamaha), 12 000 motos Yamaha XT 660, 15 000 scooters X-City 125/250, ainsi que 40 000 moteurs marins Yamaha de petite puissance (2,5 à 8 ch) en 20062.

Il ne faut pas confondre MBK avec Motobecane USA, qui importe des deux-roues de Taïwan et de Chine. Les deux entreprises ne sont pas liées, hormis la marque qu'elles exploitent toutes les deux.


Après avoir longtemps compté sur son site espagnol, le groupe Yamaha Motor a relocalisé la production de sa marque MBK à Saint-Quentin, en Picardie. Fière de son outil de production industriel, la société nous a invités à découvrir la chaîne de montage où sont fabriqués ses célèbres Booster Spirit ou Skycruiser...

MBKIl y a quelques semaines, MBK Industrie nous a ouvert les portes de son usine de Saint-Quentin afin de présenter sa nouvelle organisation. Situé dans l'Aisne, à 2 heures de Paris, le lieu a en effet évolué l'an dernier en récupérant la production des modèles vendus en Europe. Le siège social étant tout proche, les ouvriers peuvent désormais y croiser les cadres et hauts dirigeants de la société...



Le tout est assemblé sur 3 lignes de montage : l'une est dédiée aux scooters 50cm3 (Booster Spirit / Bw's, Nitro / Aerox, Stunt / Slider, Ovetto / Neo's et Mach-G / Jog), une seconde aux maxi-scooters (Skycruiser / X-Max) et la dernière aux motos Yamaha (YZF 125R, WR125R, WR125Z, XT660R et X et XTZ660). Chaque jour, pas moins de 200 machines y sont fabriquées de A à Z.

REPORTAGE sur SCOOTER SYSTEM !

Après avoir longtemps compté sur son site espagnol, le groupe Yamaha Motor a relocalisé la production de sa marque MBK à Saint-Quentin, en Picardie. Fière de son outil de production industriel, la société nous a invités à découvrir la chaîne de montage où sont fabriqués ses célèbres Booster Spirit ou Skycruiser...

Il y a quelques semaines, MBK Industrie nous a ouvert les portes de son usine de Saint-Quentin afin de présenter sa nouvelle organisation. Situé dans l'Aisne, à 2 heures de Paris, le lieu a en effet évolué l'an dernier en récupérant la production des modèles vendus en Europe. Le siège social étant tout proche, les ouvriers peuvent désormais y croiser les cadres et hauts dirigeants de la société...



À l'entrée du site, on aperçoit les noms de MBK et de sa maison-mère, Yamaha
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Véritable pôle technologique, l'usine MBK de Saint-Quentin interpelle par ses contrastes : la haute-technologie des chaînes de production mécanisées y côtoie des clins d'oeil insolites ou amusants à l'histoire de la société. Devant l'entrée, la mobylette bleue des années Motobécane (1923-1983) et le Booster Spirit si cher aux adolescents reprennent par exemple vie sous la forme de statues.




Devant l'entrée de l'usine de Saint-Quentin, la bicyclette bleue se montre fièrement
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Les 4 bâtiments, qui occupent une superficie de 141 000 m2, sont situés au beau milieu de cultures de maïs parsemées d'éoliennes. À l'intérieur, MBK Industrie fabrique de A à Z des dizaines de milliers de motos et scooters qui sillonneront plus tard les centre-villes congestionnés des grandes agglomérations françaises : 30 000 scooters 50, 31 000 maxi-scooters et 13 000 motos.


L'usine MBK regroupe tous les métiers du groupe, de la conception à la production
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Comme dans toute production industrielle à la chaîne, les deux-roues MBK suivent un parcours très précis. L'aventure débute dans le bâtiment A, où les matières premières sont transformées en pièces détachées. L'acier et l'aluminium y arrivent sous la forme de lingots de plusieurs tonnes pour en ressortir transformés en cadres, carters moteur, pots d'échappements ou encore guidons.

Produits sur-place, les échappements attendent d'être montés sur un scooter MBK
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Le tout est assemblé sur 3 lignes de montage : l'une est dédiée aux scooters 50cm3 (Booster Spirit / Bw's, Nitro / Aerox, Stunt / Slider, Ovetto / Neo's et Mach-G / Jog), une seconde aux maxi-scooters (Skycruiser / X-Max) et la dernière aux motos Yamaha (YZF 125R, WR125R, WR125Z, XT660R et X et XTZ660). Chaque jour, pas moins de 200 machines y sont fabriquées de A à Z.

Sur la chaîne de montage des 50cm3 de 50 mètres, les MBK Nitro font la queue...
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Sur la chaîne, les robots sont chargés des opérations les plus lourdes, qui représentent environ 80% du travail. Le reste est confié aux ouvriers, parfois des femmes, pour des missions aussi variées que l'alimentation des robots, la réalisation de points de soudure difficiles d'accès ou le collage de stickers sur les carénages. En fin de course, les machines sont envoyées à la peinture.

En fin de course, l'unité peinture est sur-protégée pour éviter toute poussière
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Contrôle qualité oblige, chaque machine est vérifiée et testée individuellement. L'ensemble de ces étapes est parfaitement maîtrisé afin de bénéficier des certifications ISO 9001 et 14001, un gage de qualité et de respect de l'environnement. La maison-mère, le groupe Yamaha Motor, veille de très près à la qualité de sa production picarde en lui imposant les standards japonais, très exigeants.


Le collage des stickers est aussi important que les soudures du cadre.

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Suite à des audits internes, l'usine MBK de Saint-Quentin a reçu une notation de 4.5/5. Fière de cet excellent résultat, elle compte bien récupérer la production des futurs best-sellers MBK et Yamaha. Elle met également en avant sa capacité à produire des séries spéciales comme les Booster Japan Rags et Booster 64. Le site peut en effet accueillir bien plus que les 610 salariés actuels !

extrait de roue libres ! là on voit des XMAX !!!!!

Des scooters X-Max et des motos Yamaha "Made in France"

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C'est désormais officiel... Après la fermeture de l'usine espagnole Yamaha , c'est le site de Saint Quentin dans l'Aisne qui reprend le flambeau...

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Le malheur des uns fait le bonheur des autres... Depuis quelques semaines, l'usine Yamaha / MBK tourne à plein régime. La raison ? La fermeture de l'usine espagnole située à Barcelonne, en raison de la crise et de la baisse du marché du deux-roues. Pour ce faire, plus de 250 semi-remorques ont été nécessaire pour transférer, de Barcelone à Saint Quentin, un stock de pièces détachées représentant plus de vingt millions d'euros.


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Une nouvelle qui ne pouvait être que très bien accueillie à Saint Quentin, puisque 45 % des ventes du groupe Yamaha Motor France va désormais être produit sur le site. Une augmentation de production dont vont bénéficier les 30 nouveaux salariés embauchés sur le site.

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Des motos nippones estampillées "Made in France" au pays de la Mobylette... Une réalité difficile à imaginer,quand on repense à Voxan, BFG...

Alors voila, plutôt qu'un long discours, je vous propose une visite de l'usine. Histoire de voir d'où vient votre X-Max ou votre XTZ ou votre MT 03 (ces dernières y seront assemblées dès juillet prochain) Et dans le prochain post, quelques images du petit musée MBK / Motobécane, histoire de ne jamais oublier le passé...

Bienvenue à l'usine MBK

Jean-Marc Navarro

Des scooters X-Max 125 et 250 (vendu sous le nom Skycruiser chez MBK) et best seller sur le marché français) Mais aussi des YZF 125 et 660 XTZ et MT03.. Soit un élargissement de la gamme de six modèles qui étaient auparavant assemblés en Espagne et représentant 20 à 30.000 machines supplémentaires à sortir des chaines tricolores.

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Un succès pour l'usine de Saint Quentin, celle là même d'ou était sortie la bleue en mai 2002. La dernière mobylette du constructeur français Motobécane, puisque c'est le groupe Yamaha à travers sa filliale MBK qui a repris l'usine"Tobec" au début des années 2000.

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Des vestiges de l'ancienne marque française aujourd'hui disparue, il ne reste plus grand chose. Sur le parking du personnel, less scooters Yam et MBK ont remplacé depuis bien longtemps, les mythiques mobs chaudron et 51 V des années 70. Toutes ? Pas tout à fait, puisque qu'un irréductible gaulois est fier de sortir sa 125 LT3 pour aller bosser. Coccorico !

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DOSSIER SCOOTER INFO

Yamaha, premier constructeur français de deux-roues !

Beaucoup l’ignorent, y compris les clients de la marque eux-mêmes. Et pourtant en roulant Yamaha, l’utilisateur de deux-roues urbain opte très probablement pour un véhicule produit en France. Une réalité que renforce encore le récent rapatriement hexagonal de l’unité de production de Barcelone. À l’heure où tout le monde parle de délocalisation, Yamaha prouve, via sa filiale MBK Industrie, que produire en France n’a rien d’une utopie.
L’événement n’a beau concerner que le petit monde du deux-roues, il est d’importance. Suffisamment pour susciter le déplacement de Xavier Bertrand, ancien ministre du travail. L’annonce de Yamaha avait en effet de quoi retenir l’attention. Suite à la fermeture du site de Barcelone le 1er avril 2012, les X-Max sont désormais produits en France, sur le site historique de Motobécane, sa filiale située à Saint-Quentin, dans l’Aisne. Xavier Bertrand, également maire de cette ville, sait l’importance économique d’une telle décision : « Quand Motobécane tousse, c’est tout le Saint-Quentinois qui s’enrhume », rappellera-t-il avant d’évoquer sa passion pour la moto, ultime motif de réjouissance pour le haut responsable politique.

Kaizen

L’histoire de MBK industrie, premier employeur privé de l’agglomération, est intimement liée à Saint-Quentin depuis que Motobécane y a installé ses usines en 1951. Les statues qui ornent le rond-point d’accès à la zone industrielle attestent de ce fort héritage industriel : un couple d’ados sur un Booster (produit ici depuis 1990), un garde-champêtre sur une Bleue (dont un exemplaire sortait des chaînes toutes les 10 secondes au plus fort de l’activité) et une mamie sur un vélo. Certes, l’histoire de Motobécane a aussi connu de sérieux coups durs. La démocratisation de l’automobile, 4L et 2CV en tête, dans les années 70, et le succès des deux-roues japonais précipiteront la fin de Motobécane, jusqu’à son rachat par Yamaha en 1986.

Motobécane, devenue MBK, est depuis lors le site de production français de Yamaha, qui aura investi 210 millions d’euros en 25 ans, décidant d’appliquer sur son site hexagonal des méthodes japonaises de responsabilisation de chaque poste de travail. Cette méthode, baptisée Kaizen (contraction de Kai, « Changement » et de Zen, « Bon »), demande à chaque opérateur de réfléchir aux améliorations à apporter à sa fonction en vue d’optimiser la qualité. Chaque année, les 800 ouvriers du site conduisent ainsi 400 à 500 améliorations, les meilleures permettant à leurs initiateurs de percevoir une prime de 100 €. Une méthode qui a permis de rapprocher le site saint-quentinois des standards japonais. Le taux de reprise en sortie de chaîne est un bon indicateur de son niveau de qualité. Au Japon, 5 à 6 % des véhicules nécessitent une reprise, le plus souvent pour un plastique mal ajusté ou une tache de graisse (« jamais pour un étrier manquant » plaisante Eric de Seynes, DG de Yamaha Motor France). Chez MBK, ce taux atteint 10 % alors que la moyenne européenne est de l’ordre de 30 %.

Un surcoût négligeable

Un argument chiffré qui a probablement joué en faveur de la relocalisation de la production de Barcelone à Saint-Quentin, et non l’inverse. D’autres facteurs ont également été favorables au site français. Sa plus grande capacité (200 000 véhicules/an) permettra de faire face à une montée en puissance de la production lorsque la reprise économique sera au rendez-vous sur le marché du deux-roues (en 2012, 80 000 véhicules devraient sortir des chaînes MBK). L’ancienneté moyenne des ouvriers de Saint-Quentin (18 ans !) et leur savoir-faire ont aussi fait peser la balance dans la bonne direction. Le surcoût du recours à des ouvriers français plutôt qu’espagnols est d’autant plus aisément compensé que le coût de la main-d’œuvre ne représente que 7 % du produit final. La relocalisation en France n’aura donc aucune incidence sur le prix des scooters et motos Yamaha / MBK.
Un seul gros investissement aura été nécessaire pour le transfert du site de production en France : le déménagement du banc de test de freinage ABS, effectif au 15 juin, est en effet indispensable pour la production des X-Max et Skycruiser équipés de cette technologie. En tout, ce sont 28 à 30 000 X-Max / Skycruiser 125 et 250 cm3 qui sortiront des chaînes en 2012.

Un logo cocorico

Pour l’amateur de scooters, cette relocalisation se traduira aussi par la mise en place probable de séries spéciales, telle la déclinaison Business Edition du X-Max. Eric de Seynes explique : « La proximité géographique de notre site de production et de notre stock central de pièces situé à Dourges, près de Lille, nous permet d’être très réactif vis-à-vis des attentes des clients. Il s’agit pour nous d’un avantage réel alors que la plupart de nos concurrents doivent composer avec des délais de 45 jours pour la seule livraison par bateau ». Ces séries spéciales vont également dans le sens de la demande de personnalisation de plus en plus forte de la part des utilisateurs. Eric de Seynes entend également communiquer sur l’origine française de ces produits, et faire savoir à la clientèle nationale que 48 % des volumes Yamaha vendus en France y sont également produits. Quel propriétaire de X-Max le sait aujourd’hui ? Désormais, un petit sticker représentant un coq le leur rappellera !


Conclusion
Ce rapatriement de la production en France aura permis de conserver l’ensemble des emplois du site de Saint-Quentin, mais également d’en créer de nouveaux : de vingt à trente CDI et une centaine de contrats intérimaires. Et même si l’heure n’est pas encore au hourra (la fermeture de Barcelone reste la conséquence de la crise du deux-roues), cette relocalisation hexagonale est déjà une belle réussite à l’heure où la majorité des industries va dans le sens contraire. Cocorico !

L'entrée de l'usine MBK Industrie, à Saint-Quentin (02), à moins de 200 km de Paris

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L'usine de Saint-Quentin a été construite entre 63 et 68 pour accueillir les chaînes de production de Motobécane. L'ancien site de Pantin (93), trop petit, ne pouvait plus satisfaire la très forte demande des années 60 (1 million de produits vendus par an).

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La décoration du rond-point aux abords de l’usine MBK donne le ton. Le scooter joue un rôle très important dans l’économie du Saint-Quentinois.
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L’usine MBK fabrique intégralement les cadres aciers destinés aux deux roues. Une fois montés et soudés, ces cadres passent tous à la cataphorèse. Le traitement qui leur donne cette finition noire permet de lutter contre la corrosion.
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L’usine MBK fabrique intégralement les cadres aciers destinés aux deux roues. Une fois montés et soudés, ces cadres passent tous à la cataphorèse. Le traitement qui leur donne cette finition noire permet de lutter contre la corrosion.
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L’usine MBK fabrique également les pots d’échappement (y compris catalytiques) en partant des bobines de tôles brutes.
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De grands tableaux attestent de l’implication des ouvriers dans la démarche « Kaizen ». Chaque feuille présente 2 photos. La première montre le poste de travail avant, la seconde présente le même poste après l’optimisation imaginée.
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La mise en place du "kiting" sur la chaîne de montage des moteurs de hors-bord contribue à optimiser la qualité. L’opérateur place l’ensemble des pièces sur un plateau qui doit impérativement revenir vide après montage. Les moteurs de deux-roues proviennent pour leur part de l’usine italienne Minarelli, filiale à 100% de Yamaha.
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super ce reportage

de faire partager ce reportage...

merci merci les gars ! YAMHA XMAX = FRENCH PRODUCTION !!!!



la suite


La mise en place du "kiting" sur la chaîne de montage des moteurs de hors-bord contribue à optimiser la qualité. L’opérateur place l’ensemble des pièces sur un plateau qui doit impérativement revenir vide après montage. Les moteurs de deux-roues proviennent pour leur part de l’usine italienne Minarelli, filiale à 100% de Yamaha.

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En 2012, 80 000 deux roues devraient sortir des lignes de montage de Saint-Quentin.

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La peinture des pièces de carrosserie en plastique s’effectue à la main.

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Selon la couleur choisie pour peindre une même pièce la gestuelle ne sera pas la même. Ici des becs avant de Booster.
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La peinture des pièces de fonderie des moteurs de hors-bord est intégralement automatisée. Ce poste de travail est isolé des autres afin d’éviter la poussière. 10% de la production mondiale de moteurs de hors bord provient du site de Saint-Quentin.

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La pose des autocollants représente 1% du temps de montage total d’une machine. L’opération réclame d’autant plus de minutie qu’elle contribue grandement à l’esthétique du scooter.

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En bout de chaînes, les véhicules passent sur un banc d’essai. Cette opération qui s’effectue dans un local hermétique est la dernière avant emballage pour expédition.

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L’ancien ministre et actuel maire de Saint-Quentin, Xavier Bertrand, se félicite de ces produits manufacturés en France et destinés à l’export à l’international.

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Quelques modèles historiques sont exposés dans l’enceinte de l’usine MBK. Un avant-gout du musée dédié à la marque dont l’ouverture devrait avoir lieu dans le courant de l’été à Saint-Quentin.

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